Diagnostic des infections froides

Diagnostic des états infectieux persistants

Des infections sous le radar

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Département

Médecine fonctionnelle, médecine intégrative transformative

Consulation

Médecine fonctionnelle, médecine intégrative transformative

Raison d'être

Nous sommes tous habitués aux états infectieux. Un état fièvreux, mal à la tête, tremblotant, avec des douleurs partout, la gorge en feu, blotti au fond du lit. Nous en avons tous fait l’expérience. En quelques jours, notre corps reprend le dessus ou, si la situation persiste, des antibiotiques développent leur magie.

Il arrive parfois des situations où notre système immunitaire affaibli n’arrive plus à se débarrasser complètement d’un agent infectieux.

L’infection reste tapie dans l’organisme, silencieuse, parfois pendant des années, souvent sans symptômes. On appelle cela une « infection froide » ou « infection dormante ».

Lorsque notre système immunitaire devient moins performant, ces infections froides peuvent faire l’effet d’une bombe à retardement. Elles peuvent créer un état micro-inflammatoire chronique, voir même un terrain auto-immunitaire et causer ou participer à des pathologies ou affecter de manière générale notre organisme.

La médecine classique ne les prend que rarement en considération, car l’infection froide est souvent silencieuse et le lien qu’elle pourrait avoir avec la pathologie du patient n’est pas évident. 

Ces infections peuvent souvent se réveiller à la suite d’un stress ou d’une autre infection. Elle se déclare parfois sans raisons apparentes ou peut s’exprimer par des poussées périodiques sous des formes variables et dans des endroits divers du corps. Bref, elles brouillent les pistes et ne sont pas toujours faciles à diagnostiquer. L’exemple le plus connu est la Borréliose (maladie de Lyme). Les examens classiques n’arrivent pas toujours à  mettre une infection froide en évidence de manière claire, ce qui amène donc débat et controverse au sein du corps médical.

Pour certaines infections froides, des examens sanguins médicau standards sont suffisants.

Pour des situations cliniques plus complexes, nous utilisons la combinaison d’informations fournies par le Protocole Lebowitz – un examen par testing musculaire – et par un examen sanguin effectué auprès d’un laboratoire américan, l’Array 12 de Cyrex.

Cet examen de dépistage de la réactivité immunitaire associée aux agents pathogènes identifie les agents pathogènes qui sont dans un état de réactivation latent ou chronique et qui contribuent donc à l’inflammation et à la réactivité auto-immune.

Le dépistage couvre :

  • Les pathogènes buccaux – Porphyromonas gingivalis, Streptococcus mutans
  • Pathogènes gastro-intestinaux – Helicobacter pylori, Campylobacter jejuni, Yersinia enterocolitica, Clostridium difficile, Candida albicans, Rotavirus.
  • Parasites gastro-intestinaux – Entamoeba histolytica, Giardia lamblia, Cryptosporidium parvum, Blastocystis hominis
  • Pathogènes bactériens et furtifs – Chlamydias, streptozymes, protéine M streptococcique, mycoplasmes, Acinetobacter, Klebsiella, Mycobacterium avium.
  • Champignons/moisissures environnementaux – Aspergillus, Penicillium, Stachybotrys chartarum
  • Pathogènes viraux – Epstein Barr, hépatite C, cytomégalovirus, herpès
  • Agents pathogènes transmis par les tiques – Borrelia burgdorferi, Babesia, Ehrlichia, Bartonella.

 

 

L’examen manuel palpatoire est au coeur de la profession chiropratique et son apprentissage début dès la première année d’étude de chiropratique, plusieurs heures quotidiennes lui sont dédiées.

Bien que cela ne se faisait plus dans mon école de chiropratique, les « anciens » chiropraticiens nous ont transmis une véritable pépite d’expérience. Chaque jour, je prenais un moment pour placer un cheveu sous une page d’annuaire téléphonique. Puis, grâce à la palpation et à la visualisation, je m’entraînais à ressentir le cheveu. Nous le faisons aussi entre amis, ce qui permettait de positionner le cheveu dans une zone qui nous restait inconnue. Au fur et à mesure de la pratique, nous ajoutions, une page supplémentaire, puis une autre, et ainsi de suite. Cet entraînement – qui combine palpation à une forme de visualisation interne de réceptivité, – m’a permis de développé un ressenti affiné.

L’une des méthodes principales que j’utilise est le Network Spinal Analysis. C’est une technique douce de la chiropratique qui utilise des zones réflexes du corps. Ces zones se retrouvent principalement en proche proximité des zones où le système nerveux s’attache à la colonne vertébrale par les méninges.

La palpation de ces Gateway est spéciale et particulière. Elle demande de nombreuses années de développement post-graduée car ces zones sont différentes de toute autre zone anatomique. La palpation des Gateway se fait avec un intention spéciale, celle d’aider le système nerveux à développer des mécanismes d’auto-régulation qui sont dormant en son sein.

Grâce à cette palpation particulière et l’intention amenée, ces Gateways se développent et deviennent de véritables portes de communication avec les dimensions physiques, émotionnelles, psychologiques et spirituelles du système nerveux.

  • Mobilité d’une articulation
  • Raideur ou rigidité d’un tissus
  • Tonus normal ou anormal d’un muscle
  • État tensionnel général de la personne

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